mercredi 31 octobre 2012

Tortilla de patata (con cebolla)

Vendredi après-midi, en prévision d'une soirée d'anniversaire, j'ai donc préparé une tortilla. Et, n'étant pas tout à fait satisfaite des recettes testées jusqu'alors, j'ai expérimenté celle trouvée dans le manuel d'espagnol de Chouka. Et je dois avouer que le résultat a dépassé mes espérances ! Voici donc cette fameuse recette (en français).


Pour 6 personnes, il faut : 
- huit oeufs
- 750 g de pommes de terre pelées et coupées en fines rondelles
(- deux oignons - tout dépend de vos goûts personnels)
- une tasse d'huile d'olive
- du sel

Faire chauffer l'huile dans une poêle et y ajouter les pommes de terre. Saler. Cuire les pommes de terre à feu doux durant 40 minutes, jusqu'à ce qu'elles soient tendres. Les remuer régulièrement afin qu'elles ne se collent pas.  Ensuite, égoutter l'huile. (Pour ceux qui le souhaitent, ajouter les oignons à +/- 25 minutes de cuisson; il est aussi possible de les cuire séparément : dans ce cas, on cuit les pommes de terre, on les sort de la poêle, on cuit les oignons et on les sort de la poêle avant de tout mélanger.)

Dans un plat, battre les œufs, saler et y ajouter les pommes de terre (et les oignons) et mélanger le tout.

Verser une cuillère à soupe d'huile d'olive dans la poêle. Laisser chauffer l'huile. Y verser les œufs et laisser cuire environ 5 minutes de chaque côté, en s'aidant d'une assiette pour la retourner (autant dire que c'est l'étape la plus délicate).

La mienne s'est avérée plutôt fine au final, loin de celle de la photo en tout cas. Le secret est dans la taille de la poêle, mais pour ma part, j'ai toujours peur qu'elle soit trop petite et que je ne puisse pas tout y verser... 

À manger chaud ou froid, en entrée comme en plat ou accompagnement, voire à glisser dans une baguette. Bien sûr, on peut ajouter à cette recette de base les ingrédients que l'on souhaite (poivrons, par exemple).
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mardi 30 octobre 2012

Un weekend d'émotion

Ce weekend, je suis partie du côté de Malmedy, pas très loin de la frontière allemande, à l'occasion de l'anniversaire d'une amie que je n'avais plus vu depuis 4-5 ans.

Lorsqu'elle m'a annoncé qu'en plus de la soirée, elle nous proposait une après-midi d'accrobranche, j'ai sauté sur l'occasion. Depuis le temps que j'en avais envie...


Le premier parcours, ça a été les doigts dans le nez. Des ponts de singe, des traversées en équilibre sur un filin, des tyroliennes avec "siège" comme sur les plaines de jeux de mon enfance, ça ne m'a posé aucun problème. Là où ça a commencé à aller moins bien, c'est au parcours suivant... 
Monter sur un grand filet en décrochant régulièrement les mousquetons tout le loin du parcours, j'ai pas pu. Ce n'est pas la hauteur qui m'a fait faire demi-tour et abandonner, mais bien la sensation de ne pas être stable, le manque de contrôle. Sans compter que grimper un filet pareil, c'est assez physique. J'étais mal partie, j'avais l'impression que je n'y arriverais pas, je suis redescendue fissa. Histoire de pouvoir suivre les autres, j'ai essayé de les rejoindre sur le même parcours via une autre "entrée", et ce fut pire. Un tronc d'arbre avec des espèces d'entailles en guise de "marches". Des mousquetons à changer de filins toutes les trois ou quatre entailles... J'ai monté un peu et puis à une certaine hauteur, je ne me suis pas sentie suffisamment à l'aise que pour continuer à grimper. Je crois que ce qui m'a surtout fait peur, c'est de devoir jouer avec les mousquetons régulièrement, de n'être alors plus qu'assurée à une main.

Alors, je suis redescendue à un parcours de niveau inférieur. Où j'ai eu droit à quelques flips. Une planche sur roulette qui a démarré plus vite que mes mains ne pouvaient suivre sur le filin. Ou comment se retrouver les pieds dans le vide...le temps que la dite planche ne revienne. Une traversée d'échelles suspendues les unes à côté des autres avec un écart suffisant pour que l'exercice se révèle assez inconfortable. Et de vraies tyroliennes, sans "siège", où j'ai flippé de me lancer comme ça, dans le vide, à la première. La deuxième, je gérais déjà mieux. Bref, après ce deuxième parcours, j'avais ma dose d'émotions pour le weekend. Petit regret peut-être de n'avoir pas essayé d'autres parcours moins physiques mais plus haut...

Après toutes ces émotions, la soirée fut bien agréable. Différents plats froids apportés par chacun des invités, ma tortilla qui s'est révélée tip-top comme je les aime (ravie de la recette que je testais ce jour-là, je vous la donne demain) et pas sèche du tout. Une animation danse folk et zumba pour chauffer l'ambiance. Et puis, des visages connus un peu perdus de vue depuis 4-5 ans aussi. Bref, le genre de soirée qui fait plaisir.
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lundi 29 octobre 2012

Sé feliz #45


No lo olivides... el dinero no puede comprar la felicidad.
(N'oublies pas... l'argent ne peut pas acheter le bonheur)
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samedi 27 octobre 2012

BDS {110}

Une semaine intense et riche que celle qui se termine et qui ouvre un nouvel épisode de ma vie...


Un nouveau départ...

longtemps attendu et espéré, j'ai enfin décroché mon premier vrai job. Et c'est le soulagement tout d'abord et de nouvelles perspectives qui s'offrent maintenant à moi. 

Mon retour derrière le volant...

s'est avéré moins difficile que je ne l'imaginais. Certains réflexes sont encore là, d'autres sont à affuter mais je ne recommence pas depuis zéro. Reste que le point difficile pour moi est et sera conduire en dehors des heures de cours...

Quelques petites mises à jour sur le blog...

notamment, en ce qui concerne ma blogroll, laissée telle quelle depuis de longs mois. Il faut dire qu'avec Hellocoton comme base de lecture et ma liste d'abonnements, je n'avais pas pris la peine de le faire. C'est maintenant chose faite. J'espère juste n'avoir oublié aucun des blogs que je lis régulièrement et avec beaucoup de plaisir.
Et puis, une nouvelle page a fait son apparition dans les onglets en haut, Ici...et là-bas. Une mise au point qu'il me semblait peut-être intéressante d'ajouter par rapport au titre de ce blog.

Enfin...

j'ai reçu l'un des deux livres que j'attendais. Un livre contre une critique, un bon marché, non ? Bref, en ce moment, je lis le dernier J.K. Rowling et je vous en parlerai bientôt ici...

Passez un beau weekend ! (moi, je m'en vais vers Malmedy pour une après-midi parcours dans les arbres et une soirée d'anniversaire)
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vendredi 26 octobre 2012

Une semaine, deux entretiens

Cette semaine fut clairement une grosse semaine. Entre les heures d'auto-école et les entretiens.

Le premier, lundi soir, était plutôt une épreuve écrite, relativement technique, pour un poste à mi-temps dans une association pas trop loin de chez moi. J'avoue que je me suis sentie pas tout à fait préparée, j'étais consciente de certaines lacunes et faiblesses mais j'ai fait de mon mieux. D'ailleurs, hier soir, ils m'ont rappelé pour me proposer un entretien "oral" cette fois le 7 novembre.

Et puis, jeudi, hier donc, cet entretien devant jury pour ce poste dans un syndicat suite à des tests psychotechniques. Préparation d'un texte issu de leurs publications, présentation de celui-ci devant le jury et questions. Un petit test aussi, où il fallait reconstituer un puzzle composé de formes géométriques tout en expliquant la procédure. C'était la première fois que j'étais confrontée à ce genre d'exercices et je l'ai plutôt bien réussi, d'après l'un des membres du jury qui m'a même demandé si j'en avais déjà fait... Des questions ensuite, plus en rapport avec la fonction, la façon dont je me positionnais par rapport à celle-ci et à ce qui était demandé.

Et puis, ce matin est arrivé le verdict. Coup de fil juste avant mon cours d'auto-école. Et c'est positif ! Je crois que j'ai d'abord ressenti du soulagement... Bref, maintenant il y a des démarches à faire vu que c'est engagement de 6 mois sous FPI (Formation Professionnelle Individuelle) et puis CDI si il s'avère que je conviens. Une nouvelle page à écrire dès le 19 novembre donc !
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mercredi 24 octobre 2012

Et tomber de haut, peut-être

Demain, c'est un peu le grand jour. C'est comme ça que je le ressens. L'ultime étape du processus de sélection pour ce job qui me plairait bien. Voire plus que bien.


Et j'angoisse. J'angoisse d'avoir espéré, de m'être projeté ces dernières semaines dans les changements que cela pourrait apporter dans ma vie si ça marchait. J'angoisse, parce que si c'est sans doute bon de se projeter positivement dans l'avenir, si le succès n'est pas au rendez-vous, j'ai peur de la chute.
Peur de la déception, du rejet, de ne pas avoir été prise et de retourner à la case à départ.

Bref, j'ai mis beaucoup d'espoir, de préparation aussi, dans ce dernier entretien demain. Bientôt, je saurais si c'est bon ou pas. Et je crois qu'au fond, j'ai peur de ce verdict...
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mardi 23 octobre 2012

Histoire de cheveux

Ou plutôt histoire de shampoing. Il y a un peu moins d'un an, j'ai décidé de passer au shampoing bio et, vivant encore à l'époque à Logroño, je me suis rendue à la boutique bio que m'avait conseillée une amie. Un peu par hasard, il me semble me souvenir que le critère qui a fait penché la balance de mon choix a été l'odeur, j'en suis ressortie avec le shampoing au lait d'amande douce de Lavera.


Premier essai et des cheveux agréables, aucun problème particulier comme il peut y en avoir lorsqu'on passe de shampoing grande distribution au bio.

Le hic, c'est que rentrée en Belgique, je n'avais plus ma super boutique à portée de main. Le flacon vide, j'ai utilisé ce que j'avais sous la main, mon ancien shampoing grande distribution donc. Et puis, ayant vu fleurir deux boutiques bio dans les environs, je me suis dit qu'il serait bête de ne pas en profiter.

Je n'ai malheureusement pas retrouvé mon super shampoing. Celui que j'ai acheté est une vraie catastrophe, je hais mes cheveux. Ils sont un peu rêches au rinçage, ils donnent l'impression d'être un peu poisseux au toucher, pas aussi légers et agréables qu'avant. Je pensais alors me rabattre sur un après-shampoing, histoire de limiter la casse, mais il y avait peu de choix. J'avoue que je me suis sentie un peu coincée. Acheter un après-shampoing sans vraiment savoir si il allait ou non résoudre mon problème alors que j'ai déjà un shampoing dont je ne suis pas satisfaite, je me sentais indécise. La vendeuse m'a alors proposé un échantillon d'un autre shampoing. Qui n'a pas eu l'effet escompté sur ma chevelure.

Bref, là, j'abandonne. J'ai beau savoir qu'il faut parfois attendre plusieurs semaines pour voir les effets bénéfiques d'un shampoing bio, je n'ai pas le courage de vivre avec des cheveux moches pendant autant de temps. Je n'ai pas envie non plus de tenter à l'aveugle un après-shampoing, d'autant que je n'en ai jamais eu l'usage. Je retourne à mon shampoing de grande distribution...jusqu'à ce que j'ai l'occasion de commander mon super shampoing Lavera.
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lundi 22 octobre 2012

Avant d'aller dormir - S.J. Watson

Qu'y a-t-il de plus agréable encore qu'un bon livre ? Un bon livre, consciencieusement noté dans la liste des livres à lire un jour, déniché au Bibliobus par hasard et qui tient toutes ses promesse. Bref, c'est là un vrai joyau dont je vais vous parler.


Résumé : À la suite d’un accident survenu une vingtaine d’années plus tôt, Christine est affectée d’un cas très rare d’amnésie : chaque matin, elle se réveille en croyant être une jeune étudiante célibataire ayant la vie devant elle, avant de découvrir à sa grande surprise qu’elle a en fait 47 ans et qu’elle est mariée depuis vingt ans.
Tous les traitements ayant jusque-là échoué, son dernier espoir réside dans son nouveau neuropsychologue, Ed Nash. Celui-ci lui a conseillé de tenir un journal intime pour l’aider à se remémorer son quotidien et ainsi rassembler peu à peu les fils de son existence.
Quand Christine commence à constater de curieuses incohérences entre son journal, ce que lui dit son entourage et ses rares souvenirs, elle est loin de se douter dans quel engrenage elle va basculer. Très vite elle va devoir remettre en question ses rares certitudes afin de faire la vérité sur son passé… et sur son présent. (Babelio)

Mon avis : Un tout bon polar, bien construit, où l'auteur ne cesse de jouer avec nos doutes et nos nerfs. On se prend à détester les personnages, puis à revenir sur ce sentiment. Comme Christine, on se sent perdus par les différences existant entre ce que son entourage lui raconte chaque jour de sa vie et ce qu'elle en a noté dans son journal. Et jusqu'au bout, on se laisse mener par l'auteur, on ne sent pas venir la chute avant la fin. Un vrai chef d'œuvre que je conseille à tous les fanas de polar.
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Sé feliz #44


Da las gracias a las personas que te enseñan, que te apoyan, que te animan, 
e invítalas a tomar un café.
(Remercie ceux qui t'enseignent, qui te soutiennent, qui te remontent le moral et invite-les à prendre un café)
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samedi 20 octobre 2012

BDS {109}


C'est un peu le mot qui pourrait caractériser cette semaine. Et sans doute plus encore la soirée d'hier. Entre fous rires dus à un chat acrobate, une bonne nouvelle tombée par surprise dans la matinée et juste du soleil dans le coeur après une chouette soirée la veille et une matinée en touriste dans Bruxelles.

Un sourire de satisfaction

en sortant de ces tests lundi matin, malgré une petite migraine. L'impression d'avoir fait de mon mieux, il ne reste plus qu'à attendre.

Un sourire dans une boîte

avec la D*auty Box. Après de gros doutes ces deux dernières semaines (le concept allait-il me plaire ?, les produits correspondre à mon profil et mes attentes ? ), ils se sont envolés à l'ouverture de la boîte. Satisfaite des produits reçus, une belle surprise. Par contre, je n'en parlerai pas plus ici, il y a suffisamment d'inventaires de son contenu sur la blogosphère et d'autres le font beaucoup mieux que moi.

Un sourire pour de bons moments passés ensemble

Jeudi soir, c'était la pendaison de crémaillère chez le Franchute. J'avoue, j'appréhendais un peu d'être la vieille de la soirée. Ce qui a effectivement été le cas...mais est passé inaperçu. Énormément de monde, une soirée sympa passé avec El Franchute. Et des petits moments à replonger dans nos souvenirs...
Vendredi, après un réveil tardif, direction la Grand-Place de Bruxelles, qu'il n'avait pas encore trouvé l'occasion d'aller voir depuis un mois et demi qu'il est là. Et celle-ci l'a séduite. Plus belle que toutes les Plaza Mayor qu'il a pu voir en Espagne (ce sont ses mots). Et c'est vrai qu'elle en jette ! Promenade des curiosités touristiques des environs avant de rentrer.

Un sourire serein

pour une soirée agréable ce vendredi soir. Une tasse de thé, de la lecture (blogs et un roman en cours) en perspective, la maison vide et calme, le chat sur les genoux, que demander de plus ?

Et un sourire pour une bonne nouvelle arrivée plus tôt que prévu

Et oui, ce même vendredi matin, alors que j'étais dans le métro direction la Grand-Place, voilà que mon gsm sonne. Et au bout du fil, le résultat de mes tests psychotechniques de lundi et un sésame pour la deuxième et dernière étape jeudi... Fingers crossed !


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vendredi 19 octobre 2012

La fille de l'archer - Serge Brussolo

Même si j'ai souvent bien du mal à retenir les noms des auteurs, à quelques exceptions près, je savais en piochant ce roman, que ce nom ne m'était pas inconnu. Et pour cause. J'avais déjà lu quelques-uns de ses titres jeunesses et sans doute d'autres pour un public adulte. À l'image de mes lectures précédentes, je n'ai donc pas été déçue...


Résumé : Au début de la Guerre de Cent ans, une troupe de baladins fait profession de montreurs de bêtes phénoménales. Ces forains, au demeurant peu scrupuleux, vont de château en château exhiber leur bestiaire merveilleux, tirant profit de la passion que cette collection suscite chez des nobles. Hélas, l'Eglise évente la supercherie. Le "phénomène" qui assurait la fortune de la troupe est arrêté par les autorités religieuses et brûlé sur le bûcher. La compagnie, ruinée, doit prendre la route et se mettre en quête d'une nouvelle source de profit. C'est alors que les forains entendent parler d'un chevalier obsédé par les animaux légendaires, et qui collectionne les bêtes rarissimes. La troupe décide de lui proposer ses services. Cette fois, pourtant, il semblerait que le monstre existe réellement !
Au fur et à mesure que les forains battent la campagne le mystère s'épaissit... et les assassinats se multiplient. (Babelio)

Mon avis : Un début de roman assez lent, le temps d'installer les personnages et le "don" que va accepter Wallah, mais qui ne m'a pas gênée outre mesure dans ma lecture. Une écriture bien rythmée, l'ambiance du Moyen-Âge fidèle à celle que j'ai retrouvé dans d'autres romans lus récemment. Une héroïne attachante aux origines nordiques. Des mystères, des ennemis lointains et inconnus et quelques superstitions. Un brin de "magie" et de surnaturel. Voilà les ingrédients qui composent le premier tome de cette série, chose que je n'ai découverte qu'une fois arrivée au bout de ma lecture. Vivement la parution du tome 2 donc.
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jeudi 18 octobre 2012

Les tests sont passés, il ne reste plus qu'à attendre...

Comme je vous l'avais déjà annoncé, ce lundi j'ai passé des tests psychotechniques suivi d'un entretien avec le psychologue, histoire d'étayer ces tests, en vue d'un poste dans un syndicat. Dans l'ensemble, je pense que cela s'est plutôt bien passé, reste à savoir si le profil que le psychologue établira correspond à ce qu'ils recherchent.

Concernant ces fameux tests, je dois avouer qu'il est quand même utile de s'exercer un peu avant. C'est ce que j'avais fait pour ma part et je pense que cela m'a aidé pour ce qui est des suites numériques. Avoir une idée des logiques qui construisent ces suites est forcément un atout pour en découvrir la clé. 

Alors, pour celles et ceux qui auraient un jour de tels tests à passer, voici les sites sur lesquels je me suis (un peu) entraînée :

C'est le premier site sur lequel je suis tombée. Des exercices de mémorisation et beaucoup de suites (chiffres, lettres et dominos). Mais aussi des anagrammes. Corrigés et expliqués.

Ici, une plus grande variété de types de tests (verbal, mécanique, numérique, mémoire, etc) mais parfois il n'existe qu'une série de questions. Point faible : pour la partie mécanique, il donne juste la bonne réponse sans en expliquer le raisonnement.

Quelques tests ici aussi, mais il s'agit de suites et d'analogies. Pas le plus complet mais il permet de travailler les suites.

Ici, lorsque vous descendez sous la pub qui s'ouvre en premier lieu, vous trouverez les références de plusieurs sites qui proposent des tests psychotechniques pour s'entrainer. Certains sont intéressants, d'autres le sont moins. Tout dépend aussi du type de test auquel vous serez confrontés.


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mercredi 17 octobre 2012

Ik spreek nederlands (ou en tout cas, j'essaie)

Et tous les jeudi, je me rends avec plaisir à mon cours de néerlandais. Ce sont bien deux mots que je n'aurais pas associé dans une même phrase il y a quelques années, plaisir et néerlandais.


Sans doute la faute à un système scolaire où le néerlandais est souvent vécu comme une langue dont l'étude est imposée par les parents, parce qu'adolescent, on ne voit pas, on ne pense que cela soit utile. Peut-être aussi à un enseignement des langues selon des méthodologies, certes adaptées au système scolaire, mais qui ne permet pas toujours d'atteindre le niveau auquel on est censé arrivé en fin de scolarité. À ces cours de néerlandais à l'université que je subissais comme une véritable épreuve. Obligatoire durant les deux premières années, je n'avais clairement pas un niveau suffisant et ces deux heures de cours relevaient du calvaire pour moi.

Et puis... J'ai grandi et vu l'importance de maîtriser cette langue dans le pays dans lequel je vis. D'un point de vue professionnel bien sûr, mais aussi personnel.
J'ai suivi quelques cours de chinois aussi. Une expérience qui s'est avérée mois ardue qu'attendu et donc est vite venue me titiller l'envie de reprendre des cours de néerlandais.

J'ai sauté le pas en septembre, trouvé un cours pas trop loin de chez moi et j'ai eu beaucoup de chance. Là où je vais, on ne parle presque pas de grammaire, mais on parle en néerlandais. Tout le temps. L'heure et demie de cours, on la passe en jeu de rôles à recréer des situations de la vie courante. Pas de pression de la prof, pas de jugements. Si tu ne sais pas, tu fais appel aux autres, ce n'est pas grave. Mais tu répètes au moins les phrases, histoire de t'approprier le vocabulaire et la syntaxe.

Bref, c'est un petit moment agréable dans la semaine. Et puis, la prof n'hésite pas à nous faire partager de bons plans. Comme cette initiative de la province du Brabant Flamand avec ce site internet "Oefenhierjenederlands" qui propose du vocabulaire et des exercices, ainsi que des petits livrets de vocabulaire illustrés de pictogrammes. C'est gratuit et vous pouvez les demander ici. Sans oublier une liste de commerçants qui s'engagent à être des locuteurs bienveillants* si vous souhaitez faire vos courses en néerlandais, histoire de pratiquer. Comme ça, plus d'excuses !


* le locuteur bienveillant, terme utilisé dans l'apprentissage des langues, fait référence à un interlocuteur qui va répéter, parler lentement et distinctement, dire les choses de façon différente afin d'aider le locuteur non-natif à comprendre et interagir.
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lundi 15 octobre 2012

Sé feliz #43


Dedica tiempo simplemente a divertirte.
(consacre du temps à simplement t'amuser)
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samedi 13 octobre 2012

BDS {108}

Envie 

de changements et de légèreté. J'ai, un peu par hasard, modifié le design du blog. Et j'en suis plutôt contente. Bizarre aussi, comme j'ai été portée à choisir des couleurs automnales...

Coup de gueule

contre le site de la Fn*c et le service client. Ma commande annulée pour cause de délais à rallonge pour un produit annoncé comme en stock sur le site ne m'a toujours pas été remboursée. Trois semaines après, ça commence à faire long. J'envoie donc un email demandant des explications à ce sujet. Où j'apprends que je dois remplir les champs "compte pour un remboursement" sur mon compte. Pourquoi n'en-ais-je pas été avertie lors de mon email précédent, demandant confirmation de l'annulation et des explications concernant le remboursement ? Pour le coup, je suis bien refroidie... À l'avenir, je me contenterais de m'adresser à la libraire de la ville d'à-côté, même si il faut payer quelques euros de plus !

Autre bug,

celui de l'email à l'autoécole. Envoyé à une mauvaise adresse, vu qu'il y en a au moins deux différentes renseignées sur leur site pour le même bureau ! Bref, je n'en avais vu qu'une la semaine dernière, et la mauvaise en plus ! C'est maintenant "réparé".

Attente

de différents colis qui devraient arriver. La semaine prochaine, j'espère ?

Une surprise sympathique

qu'est la proposition d'une amie perdue de vue depuis 5 ans. Tous les ans, en octobre, elle organise un petit quelque chose pour son anniversaire du côté de Malmédy. Et cette année, pour une fois que je suis en Belgique, j'irai ! Quand j'apprends qu'elle envisage une après-midi parcours dans les arbres, j'ai juste répondu OUI. Depuis le temps que j'en avais envie, ça tombe bien. Vivement la fin du mois !

Et des notes qui se sont faites attendre

Je n'ai toujours pas eu de nouvelles officielles mais les notes du DELE (Diploma de Español Lengua Extranjera) sont disponibles sur internet. Et j'ai donc réussi mon DELE niveau C1 (avancé donc) avec de meilleures notes que ce que j'espérais. Feliz !
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mercredi 10 octobre 2012

Le pacte des vierges - Vanessa Schneider

C'est une "affaire" dont j'avais vaguement entendu parler et, en tombant par hasard sur ce livre au Bibliobus (comme toujours), je me suis dit que je tenais là un moyen d'en savoir un peu plus, d'aller peut-être un peu plus loin que le battage médiatique que cette histoire avait déclenché.


Résumé : "À la fin de l'année scolaire, le lycée de Gloucester (Massachusetts) comptait dix-sept jeunes filles enceintes [...]. La moitié d'entre elles - toutes ont moins de seize ans - ont avoué avoir fait un pacte pour avoir leurs bébés et les élever ensemble". Time magazine, 18 juillet 2008, quatrième de couverture.

Mon avis : C'est un matériel (presque) brut que nous livre là Vanessa Schneider à travers les entretiens qu'elle a pu mener avec quelques-unes de ces adolescentes.  Et ce côté brut, le fait qu'il n'y ait aucune mise en contexte, aucun rappel des faits direct m'a un peu gênée. Si j'avais bien entendu parler de "l'affaire", j'en savais finalement très peu et j'attendais donc un certain éclairage que ce livre ne m'a pas donné. Mais après tout, c'est ainsi que l'a voulu l'auteur, à chaque lecteur de s'en faire sa propre idée.
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mardi 9 octobre 2012

Here we go !

Comme prévu et avec un peu de retard par rapport à ce que j'imaginais, j'ai donc passé et réussi pour la troisième fois l'examen du code jeudi. Espérons que cette fois-ci il n'aura pas le temps d'expirer avant que je passe (enfin!) le pratique.


Bref, ça y est. Depuis vendredi, je détiens un permis provisoire m'autorisant à conduire en présence d'un guide et avec un L à l'arrière de la voiture. C'est d'ailleurs à cette occasion que je me suis rendue compte que mes photos d'identité n'étaient pas conformes. Enfin, pour le permis provisoire c'est passé, mais pour une carte d'identité ou un permis définitif, il faudra en refaire. Il semblerait donc que mes photos, faites en Espagne, soit un peu plus petites et donc la taille de mon visage sur celles-ci ne correspond pas aux normes en vigueur en Belgique. C'est bien dommage car elles sont plutôt réussies.

Il ne me reste plus maintenant qu'à attendre des nouvelles de l'auto-école pour me lancer dans les vingt heures (minimum !) nécessaires à l'obtention d'un permis provisoire qui me permettrait de conduire seule sous certaines conditions (eh oui, ceci est une exception belge sur le territoire européen). J'espère que les réflexes acquis il y a deux ans après un certain nombre d'heures d'auto-école (plus d'une vingtaine en tout cas) me permettront d'obtenir l'attestation nécessaire à ce modèle de permis après ces vingt heures de cours !
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lundi 8 octobre 2012

L'angoisse du cambriolage

C'est une angoisse qui revient fréquemment depuis trois ans. Depuis qu'on a été cambriolé en fait. Un fameux traumatisme que celui de rentrer chez soi, de trouver la porte ouverte, de voir la maison sans dessus-dessous et de s'apercevoir que plusieurs choses ont disparu. 

Vous pensez que ça peut marcher ?

Le pire, c'est sans doute cette prise de conscience violente que cette porte et ces quatre murs entre lesquels on vit, ne sont aucunement un rempart face à l'extérieur, qu'ils ne nous protègent pas d'une intrusion. Mais bon, vivre dans un bunker, c'est pas envisageable non plus...

Et donc, de temps en temps, j'ai des résurgences de cette angoisse. C'est d'ailleurs le cas en ce moment et ce depuis une dizaine de jours. Je me suis réveillée en pleine nuit en entendant ou croyant entendre des bruits de pas sur le gravier qui entoure la maison. Je me suis levée et ai allumé la lumière dans plusieurs pièces en haut ainsi que dans le couloir en bas. Y-avait-il ou non quelqu'un, je n'en ai aucune idée. Mais de savoir que des vols ont été commis récemment dans l'entité est loin de me rassurer...

Bref, j'attends la fin de cette nouvelle période d'angoisse avec impatience et croise les doigts pour ne pas revivre un cambriolage.
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Sé feliz #42

 
Céntrate en crear lo que deseas
(concentre-toi sur ce que tu veux créer)
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samedi 6 octobre 2012

BDS {107}

La première (bonne) surprise de la semaine...

a été ma sélection pour le Masse Critique 16 de Babelio. Je devrais donc recevoir d'ici deux à trois semaines le roman "L'expérience Oregon" et aurai alors 30 jours pour en faire la critique sur le site. Je suis impatiente de le recevoir.

Le moment sympa de la semaine,

c'est tout simplement la séance de sport avec ma Best ce lundi matin. Papotages et sport, la combinaison gagnante. Et ça nous a permis de faire quelques projets sympas pour ce mois. N'empêche, j'ai vraiment pas hâte du tout que son abonnement arrive à sa fin car ce sera la fin de nos séances de sport à deux, vu qu'elle retournera à la salle près de chez elle qui vient de rouvrir.

Le truc qui a fait soupirer ma mère,

c'est Chouka et le voyage à Barcelone avec l'école dans le cadre de son cours d'espagnol. A priori en pension complète mais en famille, ma mère était pas très chaude. Finalement, elle a dit non. Mais Chouka parle aussi beaucoup de faire une seconde rhéto à l'étranger plus tard... Ça, ça me rappelle moi au même âge. Fan de Hartley Coeurs à Vif, avec une amie, on allait acheter un billet à gratter de temps en temps en espérant gagner de quoi nous payer une seconde rhéto en Australie. Autant dire qu'aucune de nous deux n'a gagné de quoi partir. Par contre, alors qu'avec mes deux autres soeurs, mes parents étaient plutôt rassurés car elles ne montrent aucune envie de partir à l'étranger, Chouka semble marcher dans mes traces... et, en même temps, à moi, ça me fait plaisir.

La seconde surprise de la semaine

Au niveau "professionnel", cette fois. Un coup de fil jeudi après-midi d'une association à laquelle j'avais envoyé une candidature spontanée. C'est bien la première fois que ça donne un début de quelque chose. Mais c'est surtout dû au hasard, ma lettre coïncidant avec un appel à candidat pour un poste. Bref, parmi les candidatures qu'ils ont reçu, je fais partie des profils sélectionnés pour l'épreuve écrite qui aura lieu fin du mois.
Par contre, concernant l'entretien de la semaine passée, ils ont choisi un autre candidat.

Et pour conclure, la phrase de la semaine :

Qu'octobre arrive vite à sa fin, histoire de savoir si, au bout d'une de ces épreuves écrites/tests psychotechniques, se trouve mon futur job !
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vendredi 5 octobre 2012

Être au chômage, c'est se la couler douce !?

(Article inspiré par Délit de Faciès : "Tu as la belle vie toi, tu es au chômage")

Pour la majorité des gens qui cherchent un emploi, on est loin, bien loin, de ce préjugé qui a cours dans le monde des actifs. Pour eux, nous n'avons rien à faire de nos journées et ne sont pas rares les amis qui balayent les choses qu'ils n'ont pas l'envie le temps de faire en vous les refilant. "Ben oui, t'as le temps toi, non ?"


Du temps, ça oui, on en a... Une fois les annonces épluchées, des entreprises à qui envoyer des candidatures spontanées identifiées et les diverses tâches du quotidien effectuées, il reste du temps pour se morfondre, pour se demander pourquoi une fois encore on a pas été pris pour ce poste qui nous plaisait vraiment ou un peu moins, pour se remettre en question à mesure que le temps passe, pour monter sur les montagnes russes espoir-désespoir au fur et à mesure des envois de cv et des réponses, quand il y en a.

Et tout ça, on n'en parle pas. Jamais. Pourquoi ? Parce que les amis auraient vite fait de se lasser, c'est vrai quoi, quelqu'un qui raconte à chaque fois ses échecs, ça intéresse qui ? D'ailleurs, on ne parle jamais des monceaux de réponses négatives qu'on reçoit mais on s'enthousiasme, et on le partage, au moindre petit entretien. Peut-être aussi parce qu'à force on a honte de ce néant professionnel. Et sans doute aussi, parce que quand on voit ses amis, c'est pour se changer les idées, pour passer un bon moment, pas pour ressasser nos idées noires.

Et moi dans tout ça ? Et bien, moi, même si les remarques du type "tu es au chômage, tu n'es pas fatiguée, tu peux bien le faire" me saoulent et m'énervent, je reprends rarement les gens, je n'explique pas ce que je vis et ressens. Incompréhension des autres donc, vu qu'il y a un manque de communication. Comment pourraient-ils savoir si je ne dis rien ? Si j'encaisse chaque pique, chaque coup presque, sans broncher ? Même ici, je parle peu de "ça", alors... 

De manière générale, je suis heureusement quelqu'un qui passe rapidement au-dessus de ce genre de choses et puis je sais aussi que ce n'est pas de la condescendance, qu'il ne s'agit pas de me rabaisser avec ces petites remarques mais juste une méconnaissance du vécu d'un chercheur d'emploi. Et puis, il faut dire aussi qu'elles ne sont pas si nombreuses que ça. Reste que parfois, selon le moment, mon état psychique, ces quelques mots auront un impact plus ou moins grand, me blesseront plus ou moins profondément. Mais il suffirait sans doute de quelques mots pour que les gens y soient plus attentifs...
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jeudi 4 octobre 2012

Des amours dérisoires - Virginie Carton

Une couverture attrayante et un premier roman (il me semble) réussi pour cette pépite dénichée au Bibliobus.


Résumé : "Vincent était gentil et Vincent était délicat. Il avait aussi un défaut redoutable : il manquait de courage."
Vincent, Marine, Juliette et les autres, une bande d'amis, sont pris dans les indécisions d'amours cocasses, immatures et profondes.
Un livre léger, drôle et musical. Entre Friends et Coup de foudre à Notting Hill. (Babelio)

Mon avis : Une vraie petite bulle de légèreté. Des personnages auxquels je me suis attachée pour cette courte histoire. Des moments-clés d'une histoire d'amour et des situations dans lesquels on peut tous se reconnaître. Une écriture fluide et très agréable, parsemée de-ci de-là de référence à la chanson française (j'en ai repérée quelques-unes mais à en juger les autres critiques sur Babelio, j'en ai loupé d'autres). Un roman que j'ai dévoré suçoter comme un bonbon doux sur la langue.
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mardi 2 octobre 2012

Le Peace Movement, tu en es ?

C'est un incident (dont je sais très peu de choses et finalement, ce n'est sans doute pas le plus important) qui est à l'origine de la création du Peace Movement par Jeune anecdotique et Pomme



Ce qui est important, par contre, c'est la volonté qu'elles ont de vouloir instaurer un climat serein, de tolérance et de respect sur la blogosphère, qui parfois ne tourne plus très rond. Dix principes ont été rédigés, dix principes qui, à moi, me semblent couler de source et auquel j'adhère donc - à part le dixième, là ça va pas être possible lol. Les voici : 

1) Un article ne sert jamais à rien (même un article sur le mode de reproduction des faucons !), alors nous n'irons jamais volontairement dénigrer le travail d'une autre.
2) On ne connait pas les personnes qui sont au bout de ce blog : pas d'attaques personnelles injustifiées et blessantes.
3) La liberté d'expression est un droit ; ne pas faire de mal, physiquement ou moralement, à autrui est un devoir.
4) Nous montrerons notre désaccord avec un article dans la politesse et le respect les plus complets. Oui, c'est comme ça, on est très zen !
5) Il va sans dire que les insultes sont un tue-glamour : un peu de douceur, on s'abstient.
6) On ne menace pas de mort une personne, même un tout petit peu : le "tu veux que je t'envoie de l'anthrax ?", on jette ça aux crocodiles !
7) Relayer un article pour casser une blogueuse et lui taper dessus en groupe ? Sérieusement ? L'école primaire, c'est deux rues plus bas.
8) Pas la peine de s'excuser si on est pas d'accord avec quelqu'un : donner calmement son avis suffit.
9) L'ordi est une machine, la blogueuse : non. Respectons un peu ses sentiments.
10) Chantons tous du Céline Dion en se tenant la main.

Alors, si toi aussi, ces valeurs et ces principes te parlent, rejoins-nous ! Ça se passe ici et .

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lundi 1 octobre 2012

Sé feliz #41


No dejes que te obsesionen los pensamientos negativos
(Ne laisse pas les pensées négatives t'envahir)
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